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Topic Ma vraie histoire lesbienne.

11 décembre 2011 à 22:18:04

Je m’appelle Alexandra. Je suis responsable dans une entreprise de prêt-à-porter de la région lyonnaise. Mon mari et moi nous menons la vie d’un couple aisé et moderne. Autrement dit les plaisirs de l’existence, à commencer par ceux du sexe, mais sans excès. Evidemment, je n’ai pas toujours été aussi mesurée. Sinon y aurait-il de quoi écrire une confession érotique ?
Pendant mon enfance et mon adolescence, j’ai pourtant mené une existence assez paisible auprès de mes parents qui tenaient une boulangerie épicerie dans un village très rural, à une centaine de kilomètre de Lyon. Je ne prétendrai pas que je suis arrivée pucelle à l’age adulte, mais je n’étais pas une débauchée. Au reste les occasions de s’amuser entre filles et garçons étaient rares. Quand je ne me trouvais pas chez mon père et ma mère, j’étais interne au lycée d’une ville éloignée. Les toilettes et les dortoirs favorisent bien les amitiés troubles entre filles. D’autre part les fêtes de campagne et les sorties au cinéma en bande sont propices à des jeux moins innocents avec les garçons. Je ne sais pas si mes parents l’ignoraient. Néanmoins, tout cela n’allait pas loin. Du vice, je connaissais surtout ce que j’avais entendu, ou ce que j’avais lu dans les magazines et les livres que mes copines chipaient à leurs parents ou à leur grands frères, et que nous feuilletions en cachette.

Mon histoire commence vraiment il y a une dizaine d’année, alors que j’avais 17 ans et venait de terminer mes études secondaires. C’était un dimanche au début du mois de juillet. Il faisait très chaud. Le matin, comme toujours j’avais aidé mes parents à servir mais, l’après-midi, la boulangerie épicerie était fermée. J’étais donc désœuvrée et je ne savais trop quoi faire pour passer le temps. Rien ne me tentait. Faute de mieux je me suis décidée pour une promenade.
Tout naturellement mes pas m’ont protée vers les bois qui entouraient le village. Le soleil était trop brûlant pour rester à découvert. D’autre part, je connaissais un endroit où, depuis que j’étais tout gamine, je me rendais quand mon moral était bas. C’était le cas aujourd’hui, pour une raison très simple. maintenant que j’avais mon bac, il me fallait décider de ce que j’allais faire. J’avais envie de poursuivre mes études mais mes parents m’avaient fait comprendre, avec toutes les précautions nécessaires, qu’ils ne pouvaient subvenir aux dépenses inhérentes à un cursus universitaire. Il me fallait trouver un moyen de couvrir ces frais par moi-même. Ils n’avaient rien contre mon projet à condition que je le finance de ma poche. Je ne pouvais pas leur en vouloir. commerçant dans un patelin perdu ça ne rapporte pas des fortunes.

J’étais arrivée à mon refuge. une grande clairière parfaitement isolée avec une mare au milieu. L’endroit était frais. En outre, une grande pierre plate, dressée contre le pied d’un arbre, avec un tapis de mousse devant, formait un siège confortable. Je me suis assise pour ruminer mes pensées.
Je ne suis pas restée longtemps immobile. D’abord, j’étais énervée ; ensuite, avant de sortir, j’étais passée à la cuisine pour vider une bouteille d’eau minérale bien fraîche. A présent une forte envie de pisser me tenaillait. Je me suis levée et je me suis écarté de quelque mettre pour me placer au pied d’un autre arbre. Pas question de souiller mon fauteuil naturel. Là, j’ai soulevé ma légère robe d’été et j’ai baissé ma culotte. J’aurais pu me contenter de ça mais, je ne sais au juste pourquoi, peut-être une vague crainte de la souiller, je l’ai ôtée complètement et je l’ai posée par terre. Ensuite, je me suis accroupie.
De deux doigts j’ai écarté les lèvres de mon sexe et j’ai uriné mais, après, je ne me suis pas relevée tout de suite. La situation me rappelait ce que m’avait confié une copine de pension alors que nous nous rendions ensemble aux toilettes, en toute innocence pour une fois. Elle m’avait avoué que ça l’excitait énormément de se masturber après s’être soulagée, voire en pissant. Je n’avais jamais éprouvé une pareille envie mais, aujourd’hui, j’étais déprimée ; en plus je n’avais pas eu de rapport sexuels, avec un garçon ou une fille, depuis un bon moment. Deux raisons expliquant la chaleur bien connue qui naissait dans mon bas-ventre. Cependant, j’hésitais à me caresser à l’endroit où je m’étais vidée, avec cette large flaque devant moi. Au lieu de me faire de l’effet, ç’avait plutôt tendance à me rebuter.

Je suis retournée au pied de l’arbre où se dressait la pierre plate. La robe troussée à la taille, je me suis accroupie sur la mousse dont le contact frais et doux sous mes fesses a accru mon trouble. Les genoux écartés au maximum j’ai glissé une main entre mes cuisses. Du bout des doigts, j’ai tâté le contour de ma fente humide, guère étonnée de constater qu’elle baillait. Adolescente, j’avais déjà des lèvres intimes plus longues et plus larges que la moyenne. Cela ne s’était pas amélioré avec l’age mais, comme me l’avait dit, non sans amusement, une doctoresse pendant une visite médicale, il n’y avait pas de quoi en faire un drame. A vrai dire, le conseil était superflu. J’avais vite découvert que si les bords de mon sexe étaient épais, ils étaient aussi très sensibles ; une caractéristique dont je tirais profit quand je me donnais du plaisir. Plutôt de les caressais, je les massais avec deux doigts réunis. Dans l’intimité de ma chambre j’aimais à faire coulisser un doigt de chaque cotés de mon clitoris ; dans ces sillons formés par l’excroissance du capuchon. C’est donc ce que j’ai fait nonchalamment et, une fois de plus, le résultat ne s’est pas fait attendre. non seulement mon bourgeon a doublé de volume mais je me sentais mouiller comme une fontaine. Là aussi, en jouant à touche-pipi avec de copines, j’avais compris que mes sécrétions étaient plus abondantes que chez la plupart des filles. Cela dégoûtait certaines de mes camarades ; d’autres appréciaient, au contraire. Quant aux garçons, ils n’avaient rien de plus pressé que d’enfoncer leur queue dans mon vagin. Qu’il soit sec ou engorgé de cyprine, ça ne changeait rien pour eux, du moment qu’ils tiraient leur coup.
Je suis passée au stade suivant qui consistait à remuer mon clitoris en le tapotant du bout de l’index. J’ai tiré en arrière sur son prépuce ; décalotté il avait l’apparence d’une bille écarlate et déjà électrique. Comme la plupart des filles ayant découvert la masturbation très tôt, je suis extrêmement sensible à ce niveau là. Mes pressions ont achevé de me faire perdre la tête. J’ai enfoncé deux doigts dans mon vagin et je les ai fait aller et venir à un rythme de plus en plus rapide. Dans un bruit de succion décuplé je pressais sur la paroi supérieure de mon orifice. Quand j’en étais là, l’orgasme ne tardait pas à me transpercer. C’est ce qui c’est produit une fois de plus et j’ai mordu le dos de ma main libre pour étouffer mes plaintes quand les décharges ont remonté ma colonne. Même au comble de l’excitation, je gardais une certaine prudence. En principe il n’y avait personne aux alentours mais on ne sait jamais.

A cet instant, alors que je reprenais mes esprits, je me suis aperçue que je n’étais pas seule, contrairement à ce que je croyais. Une fille se tenait à quelque pas, la mine hilare, brandissant ma culotte comme un trophée.
- Tu n’as pas perdu quelque chose ?
J’étais trop surprise et penaude pour réagir. Elle m’a tendu la culotte et ma demandé si je voulais bien que nous bavardions un moment toutes les deux.
- N’aie pas honte. Tu sais, j’ai fait pire que toi et je savais qu’il y avait des gens qui me regardaient.
Evidemment, j’avais éveillé sa curiosité. La réciproque était vraie ; au premier coup d’œil, cette fille m’avait l’air d’un sacré numéro. Il n’y en avait sans doute pas beaucoup qui se seraient amusées à chiper ma culotte. La plupart m’auraient épiée, en se gardant bien de se montrer.
J’ai accepté de parler avec elle et elle s’est assise à coté de moi. Je ne savais pas qui elle était mais je l’avais vue le matin même à la boutique de mes parents où elle était venue acheter des provisions avec une femme d’une quarantaine d’années. Avec ses cheveux blonds cuivrés et ses tâches de son sur la figure on la reconnaissait facilement.
J’avais honte mais, au fond, elle me l’a dit, j’avais de la chance.
- Si c’était un garçon ou un homme qui t’avait surprise, il n’aurait pas manqué de profiter de la situation.
Ma gêne se dissipait. Bien sûr ça ne m’était encore jamais arrivé en plein air, mais elle n’était pas non plus la première fille devant qui je me masturbais. En plus, sa complicité était évidente.
Elle a montré ma culotte. un dessous très simple et couvrant, couleur parme, avec pour seule fantaisie un petit nœud au niveau de la ceinture.
- C’est mignon mais pas très sexy !
J’ai dû rougir. J’aurais aimé porter des dessous affriolants, comme j’en voyais dans les vitrines ou les catalogues, mais ma mère tenait les cordons de la bourse ; et choisissait pour moi.

11 décembre 2011 à 22:35:38

La fille s’est présentée. Elle habitait Lyon et s’appelait Sandra T. Elle avait un an de plus que moi. La femme qui l’accompagnait le matin, chez mes parents, n’était pas sa mère, comme je l’avais cru, mais sa tante Maud. Cette dernière avait acheté en viager la grande et belle maison à la sortie du village qu’ici tout le monde appelait « le Château ». L’ancien propriétaire, que je connaissais vaguement, était un grand-oncle de Sandra. Seul, âgé et récemment victime d’une attaque cardiaque, il s’était installé en ville à proximité des services médicaux. Le « Château » ne lui était plus d’aucune utilité, il l’avait cédé à sa nièce. J’imaginais sans peine que la famille était riche. Sandra a montré la mare, au milieu de la clairière.
- Il paraît que cet étang fait partie de la propriété. C’est pour ça que je suis venue le voir. Il est à l’abandon.
Avec un sourire en coin, j’ai expliqué que c’était à cause de la végétation et des feuilles mortes qui le comblaient d’années en années, en oubliant de préciser qu’à l’occasion, l’endroit servait de dépotoir commode pour les gens du coin. Sentencieuse, j’ai conclu :
- Les étangs, il faut les entretenir en les curant de temps en temps !
Je jouais les campagnardes averties face à la citadine chochotte mais, en fait, Sandra m’intriguait autant qu’elle m’amusait. Je la devinais très délurée, bien plus que mes copines habituelles. J’avais envie d’en apprendre davantage sur elle.
Elle m’a demandé si je me caressais parce que mon petit ami me manquait.
- Il est parti et tu ne peux pas t’empêcher de penser à lui, c’est ça ?
Je n’ai pas osé avouer que je n’avais pas de copain attitré. Elle a sans doute pris mon silence pour un acquiescement et n’a pas insisté. Elle m’a dit que le sien était en voyage d’études aux Etats-Unis.
- Moi aussi, je me branle en imaginant qu’il me baise, mais je n’ai pas besoin d’enlever ma culotte.
Elle a soulevé ses fesses de la mousse en s’appuyant d’une main et, de l’autre, a baissée l’élastique de sa jupe. Elle n’avait rien dessous. Un vaste triangle de peau blanche parfaitement glabre formait un mont de Vénus légèrement renflé. Cette vision surprenante captiva mon regard. L’amorce du sexe, très basse, se distinguait à peine. Je ne l’aurais certainement pas aperçue si elle ne s’était pas épilée.
- Dis donc, tu regardes mon sexe d’un drôle d’air. Tu ne t’intéresserais pas aux filles par hasard ?
Confuse, j’ai gardé le silence. J’avais agi surtout par curiosité mais Sandra n’avait pas tout à fait tort. Dans ma contemplation de son bas-ventre imberbe, il y avait aussi une trouble attirance. Je n’avais encore jamais eu affaire à une rousse mais des copines m’avaient dit que le goût de leur sexe était encore plus épicé que celui des brunes.
- Sandra a ri. D’une main elle a baissé davantage la ceinture de sa jupe avant de passer son majeur dans le sillon de son encoche.
- Tu as bien raison ; dans la vie, il faut profiter de tous les plaisirs. Moi, je ne me gêne pas pour sucer les filles. Tu l’as fait, toi aussi. Avoue !
Je n’ai pas osé mentir et j’ai murmuré un. « oui. » à peine audible. Sandra s’est faite chatte et s’est serrée contre moi.
- Tu ne veux pas m’accompagner chez ma tante Maud. On pourrait faire plus ample connaissance.
Il aurait fallu être idiote pour ne pas comprendre ce qu’elle avait en tête. Au fond, j’étais tentée. Cependant je savais que ce dimanche après-midi des oncles et tantes devaient débarquer chez mes parents. Personne n’apprécierait que je sois absente à ces retrouvailles. Je l’ai expliqué à Sandra qui a pris la chose avec philosophie.
- Alors, viens me voir quand tu seras libre. Je suis là jusqu’à dimanche prochain.

Avant de partir, elle m’a embrassée. J’ai enfilé ma culotte que j’avais laissée sur mes genoux, et j’ai pris à mon tour la direction du village. Cette fille, que je ne connaissais que depuis quelques minutes, m’avait fait une forte impression. Elle avait plus de personnalité que toutes celles que j’avais connu jusqu’à maintenant. Malgré tout je ne savais pas si j’avais vraiment envie de la revoir. Elle m’avait surprise en train de me caresser ; ça créait une complicité mais nous n’étions pas obligées de devenir copines pour autant. Au fond, j’avais refusé de la suivre parce que tout cela venait de se passer de manière imprévue et un peu trop subreptice.

Le lundi matin, mes parents laissaient le magasin fermé. J’avais donc quartier libre jusqu’en début d’après-midi. J’en ai profité pour rendre visite à Sandra. La veille au soir, je n’étais pas encore décidée mais j’avais réfléchi. L’occasion était trop belle de s’en faire une amie. Outre les moments agréables que nous pouvions passer ensemble, elle appartenait à un milieu aisé et habitait Lyon, où, elle et sa tante devaient connaître des gens bien placés. On ne sait jamais ça pouvait être utile. J’avais honte d’envisager notre relation sous cet angle, mais je n’avais pas les moyens de faire la fine bouche si je voulais arriver à quelque chose.

J’étais souvent passée devant la grille du château mais je ne l’avais jamais franchie. Avant de la pousser, j’ai hésité, prise d’un dernier scrupule et aussi d’un vague retour de crainte. Après tout je ne savais pas vraiment qui était cette Sandra. Cependant, une chose était sure. elle était intelligente et volontaire. Elle ne se laisserait pas manipuler comme une marionnette.
J’ai remonté l’allée. La maison était imposante et, en effet, une tourelle à un angle lui donnait vaguement une allure de château. En tout cas, elle semblait mieux entretenue que le parc qui avait un sérieux besoin d’être débroussaillé et ratissé.
Au premier abord, je ne vis aucun signe de vie. A croire qu’à l’intérieur, tout le monde était encore couché. C’était sans doute le cas. En effet, quand j’ai sonné Sandra est venue m’ouvrir en robe de chambre, et les yeux embrumés de sommeil. Me reconnaissant, elle a esquissé un sourire, avant d’étouffer un bâillement.
- C’est toi. T’es matinale. On dirait que tu n’es pas en vacances, toi !
Elle n’avait pas tord. Après tout, presque chaque jour, je me levais de bonne heure pour servir à la boulangerie. Le lundi, d’ordinaire, je paressais au lit mais, cette fois, j’avais fait une exception pour lui rendre visite.
Elle m’a entraînée à la cuisine. Là, il lui a suffi d’une grande tasse de café et d’un petit pain au lait pour être tout à fait réveillée. Comme je l’espérais, elle est tout de suite revenue aux circonstances de notre rencontre. A froid, elle aurait pu montrer une certaine réserve, une timidité mais, après tout et à cet instant, c’était le seul souvenir que nous ayons en commun. Elle me demanda si je m’étais de nouveau caressée. Je me suis engouffrée dans l’ouverture et j’ai acquiescé. Elle a surenchéri :
- En pensant à moi ?
Presque déstabilisée par autant d’aplomb, j’ai eu un sourire gêné. C’était vrai ; la nuit, dans mon lit, j’avais fantasmé, comme souvent, en imaginant des scénarios sur mes rencontres récentes. Elle était trop fine mouche pour ne pas le deviner. Elle m’a pris la main.
- Moi, j’ai pensé à toi, et…et j’ai joui. Je te revoyais au pied de cet arbre et ça m’excitait. Je l’avoue sans honte. Après tout. Mais… viens dans ma chambre nous serons plus à l’aise.
Au moins elle ne perdait pas de temps. En disant ces mots, elle avait à peine rougie. Etait-elle lesbienne. Bisexuelle, sûrement. Pourquoi avait-elle flashé sur moi. Etait-elle souvent comme cela. Sa rapidité me fit réfléchir. Après tout je n’étais pas habituée à ce genre de rentre dedans. Encore moins venant d’une fille.
Dans l’escalier, elle m’a enlacé la taille. Je lui ai demandé si elle était seule.
- Oui. Tante Maud est repartie hier soir à Lyon pour s’occuper de ses affaires. Elle n’est pas encore en congé, elle.

Elle s’est serrée contre moi et cela m’a fait une impression bizarre. En pension, à la piscine, ou dans les vestiaires d’un stade, quand il m’était arrivé de m’amuser une ou deux fois avec des filles, je n’avais jamais ressenti de leur part le même abandon que Sandra à cette minute. Nous nous caressions, nous nous embrassions mais il y avait de la sensualité et non de la tendresse dans nos gestes. Nous étions là pour nous donner mutuellement du plaisir rien de plus, même si nous étions de bonne copines par ailleurs. C’était vrai aussi du garçon que j’avais fréquenté. Aujourd’hui cette bisexualité des jeunes filles est devenue tendance mais il y a dix ans ce ne l’était pas encore. En revanche dans l’attitude de Sandra, je croyais deviner une pointe de sentimentalité. Mon intuition s’est confirmée quand elle a posé sa tête sur mon épaule. Comme elle était légèrement plus grande, ça lui était facile. J’aurais pu, à ce moment là, lui demander si elle était lesbienne. J’aurais pu. Mais après tout peu importait, et cela n’aurait rien changé à la suite de notre relation. J’étais déjà, et le suis toujours, très ouverte sur la sexualité de chaque individu.
Nous étions arrivées à l’étage. J’ai demandé à Sandra si elle avait des frères et sœurs. Elle m’a avoué qu’elle était fille unique. Inutile de l’interroger pour savoir si elle le regrettait. la réponse sautait aux yeux. Assez maladroitement, j’ai dit :
- Tu n’as pas de copains ou des copines ?
- Si, bien sur. Mais en général, ils ne sont pas marrants, et plutôt égoïstes. Ils pensent surtout à profiter des autres. les filles autant que les garçons.
Sa réflexion a suscité ma gêne en me rappelant le petit calcul que j’avais échafaudé pour me décider à lui rendre visite. Mais la franchise de sa réponse me donnait déjà un avant-goût de sa personnalité et de ses attentes.

Sa chambre était vaste, bien meublée, mais on voyait qu’elle n’était pas occupée en permanence. La seule note intime provenait du sac de voyage posé près de la grande armoire et des vêtements étalé sur une chaise. La jupe que portait Sandra la veille trônait sur un tas. Elle a remarqué la direction de mon regard et elle a ri.
- Tu la reconnais, hein. Mais, tu sais, il m’arrive de mettre des culottes moi aussi. La preuve !
Elle a sorti du sac une culotte de dentelle noire dont la simple vue a égaillé ma jalousie. Le tissu, délicatement ouvragé, était si fin qu’il en devenait translucide. Seul le fond, au niveau du sexe, était opaque. Malgré sa coupe guère originale, ce dessous était sexy. C’était le genre de chiffon que je rêvais d’avoir dans ma garde-robe.
Comme pour achever de me tenter, Sandra l’a déployée devant mon nez. Elle avait dû être lavée récemment, d’après le parfum qu’elle dégageait. Avec envie, je me souviens lui avoir demandé si c’était de la soie, et Sandra a ri.
- Tout de même pas. C’est du coton, mais très doux. Tu veux l’essayer ?
Mine de rien avec ses manières gentilles, cette fille aurait perverti un saint, ou une sainte. Cependant, comme je le lui ai dit, elle était grande et mince, avec des fesses petites et rondes. Moi, j’avais des hanches et des fesses plus larges. Mon objection ne l’a pas démontée.
- Essaie quand même. C’est élastique. D’ailleurs cette culotte est trop grande pour moi.
J’avais surtout l’impression qu’elle était un bon prétexte pour se rincer l’œil, comme la veille, quand elle m’avait épiée dans la clairière, mais, elle comme moi, nous savions très bien pourquoi j’étais venue.

Sans paraître gênée, j’ai débouclé ma ceinture et baissé mon jean. Ce jour là, j’avais mis ma plus belle culotte, rose mais pas plus affriolante que celle de la veille. En la voyant, Sandra a fait la moue. Cependant elle n’a rien dit. Je me suis débarrassée de mon pantalon. Ensuite, je me suis demandée si je devais enlever aussi mon chemisier, avant de décider de le garder. Il ne s’agissait pas d’essayer un soutien-gorge. De toute manière ceux de Sandra n’avaient aucune chance de m’aller. J’avais au moins deux fois plus de poitrine qu’elle.
J’ai glissé mes pouces sous l’élastique de ma culotte et j’ai jeté un coup d’œil à Sandra. Je voulais voir sa réaction ; je n’ai pas été déçue. Une lueur bizarre s’était allumée dans son regard et sa bouche avait pris un pli particulier. celui d’une enfant qui attend avec avidité une friandise. La transformation ne passait pas inaperçue. Un instant plus tôt, j’avais à faire à une jeune fille aimable, un rien taquine, maintenant c’était une vicieuse à l’expression cynique. A cet instant j’ai compris qu’il n’existait pas une mais deux Sandra tout à fait opposées. Elle ne se donnait pas la peine de le cacher et, moi, ça ne me dérangeait pas. Au contraire, je trouvais que ça donnait du piquant à sa personnalité.
En prenant mon temps, j’ai baissé ma culotte. Je ne pouvais pas m’abuser moi-même, la situation me troublait. Quand mon bas-ventre est apparu, Sandra, que je ne cessais pas d’observer, a eu un petit rire.
- Quel minou. Il est encore plus fourni que celui que j’avais. Hier, en le voyant, je me demandais si je ne rêvais pas.
C’était vrai. la veille, j’avais constaté qu’elle avait focalisé son regard sur mon sexe. Tout comme je l’avais fait sur le sien. Bien sur, comparée à elle, je paraissais négligée. Un peu trop naturelle peut être. Mais je m’entretenais. Sans me raser ou m’épiler, mon pubis était taillé et ne débordait pas sur mes cuisses ou sur mon ventre. Peut être, le fait que je sois presque brune rendait ma toison plus impressionnante sur ma peau blanche. En y ajoutant les petites lèvres d’une largeur supérieure à la moyenne, l’aspect de mon sexe pouvait sembler presque vulgaire. A l’époque cela avait plutôt excité mon petit copain et, moi, ça ne me gênait pas. Une camarade me l’avait pourtant déjà fait remarquer, un jour, au lycée ; elle connaissait les même interrogations que moi puisqu’à l’adolescence on est souvent très soucieux de son apparence, et m’avait suggéré de me raser ou de m’épiler le contour. J’avais refusé par manque de véritable motivation.
Je le soupçonnai déjà en venant, c’était ma toison qui avait provoqué l’intérêt de Sandra pour moi. J’en ai eu confirmation quand elle s’est agenouillée devant moi comme une jeune fille en prière. C’était bien à une adoration qu’elle se livrait, mais d’un genre particulier. Plus tard elle m’avouera ne pas aimer les poils sur son propre corps mais être comme fascinée par les sexes de femmes.
Elle a repoussé mes mains et a saisi la ceinture de la culotte que je m’apprêtais à quitter. De mon ton le plus innocent j’ai dit :
- Qu’est-ce que tu fais. Tu ne voulais pas que j’ess…?
D’un ton tranché elle prit les devants.
- Laisse tomber et écarte plutôt les cuisses.
J’ai obéi avec complaisance. D’agréable bouffées de chaleur naissaient déjà dans mon bas-ventre. Le comportement de Sandra n’y était pas pour rien.

Me laissez pas bider

11 décembre 2011 à 22:45:15

Elle me dit :
- Alors, c’est toi, Alex. Sandra a raison. tu es mignonne. Grande, mince, bien, proportionnée ; et avec du charme en plus, ce qui ne gâche rien.
Je rougissais sous ces compliments sans équivoque mais, une question me traversa l’esprit. sa nièce lui avait-elle raconté que nous avions eu un rapport. Dans ce cas, cela pouvait expliquer son accueil chaleureux.
Nous nous sommes installés sur le canapé, sauf Sandra qui a quitté la pièce en disant qu’elle allait préparer du café, un bon prétexte pour me laisser seule avec sa tante. Avec un petit rire, cette dernière a pincé la toile de mon jean, juste au-dessus d’un de mes genoux, là où il faisait une poche.
- Pour quelqu’un qui veut devenir styliste, tu n’es guère portée sur l’élégance.
Embarrassée, j’ai expliqué qu’un pantalon était quand même plus pratique pour rouler à bicyclette, surtout s’il s’agissait d’un vélo pour homme. J’ai eu un sursaut quand elle a posé sa main à plat sur ma cuisse.
Son geste était peut-être destiné à évaluer la texture du jean, mais je n’y croyais guère. Il confirmait plutôt mes soupçons. Maud savait ce qui s’était passé entre sa nièce et moi, et j’avais la nette impression qu’elle non plus ne dédaignait pas les aventures sexuelles avec les filles. Elle a ri à nouveau.
- Pardonne-moi, c’est de la déformation professionnelle. Il faut toujours que je m’intéresse à la façon dont les femmes s’habillent.
J’ai dressé l’oreille. Sandra n’avait pas dit ce que sa tante faisait et je n’avais pas osé l’interroger. Les activités de Maud avaient-elles un rapport avec les habits ou les sous-vêtements féminins. Si c’était vrai, elle était effectivement bien placée pour m’aider à réaliser mon rêve.

Sandra est arrivée et tenant un plateau garni de trois tasses, avec leurs soucoupes et leurs petites cuillères, d’un sucrier, d’une boite de biscuits et d’une cafetière fumante. Amusée, sa tante lui a fait remarquer qu’elle se débrouillait comme une vraie pro. Elle a répondu qu’elle avait été serveuse pour se faire de l’argent de poche. Je la croyais pourtant issue d’une famille riche, mais peut-être qu’elle avait de temps en temps envie de gagner sa vie par ses propres moyens.
Elle a posé son plateau sur la table et s’est assise à coté de moi. Coincée entre sa tante, qui n’avait pas retiré sa main de ma cuisse et elle, j’ai eu la nette impression d’être une innocente brebis cernée par deux louves affamées. A peine la comparaison s’était-elle formée dans ma tête que je l’ai trouvée ridicule, mais je n’ai pas réussi à la repousser.
Maud a rapproché sa main de l’entrejambe de mon jean. En même temps, d’un ton très naturel, comme si sa tête ne se rendait pas compte du manège de ses doigts, elle m’a dit que Sandra lui avait parlé de mon projet. Elle connaissait la directrice d’une école spécialisée. Elle pouvait me recommander auprès d’elle, et même me faire obtenir des bourses. Pour le logement, ce serait encore plus facile. Une de ses amies qui gérait un foyer pour jeunes travailleurs, recherchait une secrétaire à mi-temps.
- Comme ça, non seulement tu seras logée mais payée, en plus. Mais nous discuterons de tout cela plus tard si tu veux bien.
C’était presque trop beau pour être vrai mais, à c’est instant, mon attention était légèrement distraite par deux détails. d’abord, les doigts de Maud avaient atteint la braguette de mon jean ; ensuite Sandra s’était levée pour passer derrière le canapé et poser délicatement ses mains sur mes épaules. Pendant que la nièce me massait la nuque, la tante cherchait à saisir la tirette de ma fermeture Eclair, et je n’osais pas bouger. Depuis quelques minutes il me semblait que la température avait augmenté dans la pièce, et la chaleur du dehors n’y était pour rien. Au fond, en venant, je savais que les choses tourneraient de cette manière. Comme je le soupçonnais, Sandra et Maud étaient aussi vicieuses l’une que l’autre. En plus, je n’étais pas en état de leur refuser quoi que ce soit puisqu’elles me rendaient service. Elles le savaient, naturellement et elles en profitaient. Pour être honnête, à leur place, j’en aurais sûrement fait autant.

En se plaçant accroupie face à moi, Maud était plus à son aise pour arriver à ses fins. Elle a baissé le zip puis passé deux doigts dans l’ouverture. Le bouton du haut n’a pas résisté à leur intrusion et, comme je ne portais pas de ceinture, mon pantalon s’est ouvert largement, laissant le champ libre à ma vis-à-vis. Elle en a profité pour glisser ses doigts sous le revers de ma culotte de coton. Sandra savait à quoi s’en tenir mais sa tante a esquissé un sourire admiratif en tirant sur l’élastique.
- C’est mignon d’avoir tout gardé. Sandra m’avait prévenu de ton coté “nature”. Les filles de votre age commencent à chercher à en avoir le moins possible ; mais pourquoi pas. Commenta t-elle en me souriant d’un air complice.
Visiblement ça n’allait pas la déranger plus que sa nièce. Elle a fait crisser ses ongles dans ma toison, griffant par la même occasion les bords hypersensibles de mon sexe. Une onde de plaisir m’a envahie de la tête aux pieds. Bien que déjà concentrée sur ces attouchements ; je l’ai entendu me faire l’éloge du rasage intégral et que, son premier cobaye avait été sa nièce ; qu’elle avait convertie à cette pratique dès l’age de 16 ans.
- Mais toi, tu as bien raison. Quand on n’a qu’un duvet ridicule autant tout enlever, ça a son charme. on a l’air d’une gamine vicieuse ; comme ma petite Sandra. Mais une belle toison, on la garde, ça fait femelle. Moi, ce que j’aime, c’est ou tout l’un ou tout l’autre.
Tout en parlant elle avait jeté un regard entendu à sa nièce, et elle avait glissé deux doigts de chaque coté de ma fente. Sandra et elle se partageaient le travail. Alors que l’une s’intéressait à mon intimité, l’autre était descendue sur ma poitrine et, comme je ne portais pas de soutien-gorge, faisait rouler mes tétons au travers du débardeur. De mon coté, malgré les ondes de plaisir qui me traversaient, je ne laissais pas mes mains inactives. Je passais ma main dans la chevelure soyeuse de Maud, et fermais les yeux. Les images de mon après-midi dans les bras de Sandra remontaient dans ma mémoire. Elle et sa tante se ressemblaient de façon troublante. Elles avaient la même taille, et presque la même corpulence. Bien sûr, Maud était moins mince que sa nièce. Après tout elle avait le double de son age. En outre, ses seins, que j’apercevais, étaient légèrement plus gros, avec des aréoles plus larges et plus foncées, et avaient tendance, de par leur taille, à fléchir mais, question fermeté, ils se défendaient bien, tout comme la finesse et la douceur de sa peau. Je n’osais imaginer les petites fortunes qu’elle devait laisser chez l’esthéticienne, entre autres.
Derrière moi, Sandra avait glissé ses mains sous mon débardeur, et jouait avec mes seins. Elle les caressait, les pétrissait, en étirait les pointes.
Sa tante m’a aidée à me lever avant de me dépouiller prestement de mes chaussures, de mon pantalon, de mon haut et de ma culotte. Ensuite elle m’a rassise, nue, face à elle ; à sa disposition si je puis dire.
- Tu es bien plus appétissante sans tous tes vilains vêtements. Remarqua t-elle familièrement.
Puis le silence se fit. M’entrouvrant les cuisses, Maud a rapproché son visage de mon sexe, pendant, qu’à nouveau, Sandra se consacrait à mes épaules et à ma poitrine. Elle avait baissé son visage tout près de son oreille et, en plus de son souffle, je l’entendais vaguement me susurrer des mots doux emplis d’amour. J’adorais ce petit jeu à quatre mains sur mon corps. En femmes expertes, leurs bouches n’oubliaient rien. Déposant leurs baisers délicieux sur mon ventre, mes cuisses ; mon cou, mes lèvres.
Pendant que Sandra me suçait et me mordillait l’oreille ; Maud me tira tout au bord de l’assise en m’écartant les jambes à l’équerre. J’avais compris son approche, et désirais de tout mon corps être travaillée par la langue de cette femme d’expérience. Je sentais l’air sec de la pièce se poser sur les lèvres humides de mon sexe. J’observais, au travers des bras de Sandra, le regard gourmand de sa tante envers ma cicatrice. Mes petites lèvres hypertrophiées ne semblaient pas la déranger, visiblement elle en avait vu d’autres. Lorsqu’elle approcha sa bouche, son souffle figea mes premiers suintements de cyprine sur les poils de mon entre cuisses.
Avec habileté ses baisers parcoururent les plis de l’aine, l’amorce des cuisses, évitant scrupuleusement de s’approcher trop près du feu de mon entaille. Toutes ces attentions méticuleuses, leurs minutieux manèges, m’enivraient au plus au point.
Au dessus, Sandra me pinçait les tétons. Plaçant sa tête en avant, elle déposa un trait de salive à la base de mon cou, qu’elle accompagna de sa langue jusque dans le sillon de ma gorge. J’étais en train de fondre entre ces deux chattes en chaleur et, je ressentais, à ce moment précis toute l’attention et la douceur que seules des caresses féminines peuvent nous apporter.

11 décembre 2011 à 22:45:52

OMG c'est quoi se romans tu raconte ta vie de la naissance a ta mort ou quoi.

11 décembre 2011 à 22:46:14

Lorsque Maud se décida enfin à déposer un premier baiser sur le renflement de mes lèvres, un frisson me remonta l’échine. Je savourais ce délicieux moment de frustration. Elle ouvrit mon fruit charnu de ses pouces et pointa sa langue dans les sillons laissés par mes nymphes. Je mouillais déjà beaucoup, c’est dans ma nature ; Maud s’en aperçu et, remontant le périnée, elle lapa l’échancrure de mon vagin pour stopper l’écoulement. Je lâchais un cri instinctif.

Ma suceuse s’en prit alors à la tige de mon clitoris. Je me devinais bander entre ses lèvres. Elle aspira, mordilla ce doigt de chair que je lui offrais. Follement, je la sentis téter mon ergot, pétrir mes cuisses de ses mains puis, plus rien.
Surprise j’ouvris les yeux, juste pour découvrir, dans le vitreux de mon regard, que Maud s’était levée pour faire tomber son déshabillé de tulle à ses pieds. Je parcourus alors rapidement toute la hauteur de sa féminité. Une peau moins pâle que celle de sa nièce, une poitrine qui confortait ma première impression et un bas-ventre lisse. Les différences entre leurs sexes étaient encore moins évidentes que pour leurs seins. Toutes deux étaient épilées, avec des petites lèvres inapparentes.
Dans ma tête, je l’entendais me provoquer :
- Alors, comment me trouves-tu. Pas mal pour une nana de 36 balais, non ?
Effectivement, j’aurais bien voulu être comme elle à son âge.

Elle se repositionna entre mes cuisses et reprit là où elle m’avait laissée frémissante. Sandra vint s’asseoir à mes cotés, aussi nue que sa tante et moi. Pendant qu’elle s’appliquait à stimuler toute la sensibilité de ma poitrine, je glissais une main aventureuse entre ses cuisses repliées sous elle. Mes doigts ne mirent pas longtemps avant de dénicher l’abricot de velours qu’elle m’avait fait déguster huit jours plus tôt. Je lui massais la fente de mon majeur quand je sentis d’un coup l’affamée me décalotter le clitoris de ses deux pouces. De ses ongles, elle appuyait sous la tête du nerf pour juger de son répondant. Sans surprise il s’engorgea et rougit d’excitation. Elle me lécha, m’aspira, me suça le clitoris.
Sandra tournant ma tête pour porter ses lèvres aux miennes. Ces deux expertes faisaient de moi leur chose sexuelle, leur petite femelle de jeu. Et je me soumettais bien volontiers à leurs initiatives. Entre leurs mains et leurs langues, je me voyais partir d’une seconde à l’autre. Maud en avait le déclic entre ses lèvres. Elle me pénétra de trois doigts avec facilité. Barattant l’intérieur de mon con, elle accélérait la montée de ma jouissance. Léchant frénétiquement le coté de ma tige turgescente, elle cherchait à me faire plier rapidement. Elle se faisait expéditive et me voulait un orgasme violent. De ceux qu’on nous arrache avec force. Il était inutile de me retenir plus longtemps. Face à ses coups de langue virevoltants, ma volonté était prise en défaut.
Je m’agrippais à la tête de Sandra au moment où mon ventre fut pris de torsion, où mes muscles, mes sphincters se contractaient spasmodiquement. Malgré la sueur, Maud contint mes convulsions pour me finir correctement pendant que sa nièce m’embrassait avec fougue. Emportée dans un orgasme primaire, je me secouais comme une démente lorsque la tante de ma camarade aguicha sans discontinuer la pointe de mon clitoris. Certainement une giclée de mouille emplit sa bouche ; ça me le faisait à chaque fois que l’effort était trop violent.
Sandra me rassura en serrant fort ma tête entre ses deux mains et en posant son front sur le mien :
- C’est bon, c’est bon. C’est fini. Dit-elle en me voyant pleurer.
Je finis par m’affaler sur le canapé sur lequel nous sommes restées un long moment sans bouger, le souffle court ; le visage de Maud sur ma cuisse et celui de Sandra sur mon épaule.
- Ça va. Demanda Sandra.
- Ou…ouihhh. Soupirais-je exténuée.
Chaude et tremblante comme j’étais, même si je l’avais voulu je n’aurais pas pu faire le plus petit mouvement. Les deux garces avaient fini par obtenir de moi ce que nous avions en tête depuis le début. Elles m’avaient extrait cette jouissance qui leur tenait tant à cœur.
Ce n’était pourtant qu’un début. Maud, ayant retrouvé la première des forces, nous a entraîné dans sa chambre, Sandra et moi, pour une nouvelle série de jeux lesbiens, entrecoupés de pauses plus ou moins prolongées suivant notre degré d’épuisement. Le moins que l’on puisse dire est que l’égoïsme n’était pas une marque de famille.
Le lendemain, Sandra m’avouera que c’est cette tante, à la libido débridée, qui l’avait initiée aux plaisirs solitaires et à ceux entre filles dès son adolescence. Qu’elle avait touché une femme bien avant son premier garçon, et que ses plus beaux orgasmes lui avaient été procurés par sa tante.

Quand je suis rentrée chez mes parents, quelques heures plus tard, j’en avais appris sur les relations sexuelles entre filles davantage en un après-midi que pendant des années de pensionnat."

11 décembre 2011 à 22:46:32

Je lirais quand je me ferais chier

12 décembre 2011 à 23:17:18

Continue stp c'est passionant ;) sa m'occupe bien

10 juillet 2013 à 01:19:30

Tous bannis. Fake ou pas fake, certains devraient en prendre de la graine sujet écriture, bien qu'il y ait quelques fautes, c'est ce que j'ai lu de mieux écrit depuis ma première venue sur ce site il y a plus de dix ans. Donc bon,les juges aux excès de pudeur qui usent de leurs émotions mal placées, devraient apprendre la différence entre du porno bien gras et la nature humaine. Ces textes sont bien plus sains que la plupart des posts, révélant en filigrane, de la grossièreté et/ou de la bêtise.

Moi, ça m'a fait sourire.

03 octobre 2013 à 21:22:16

alors sa c'est du pavay

03 octobre 2013 à 21:24:23

03 octobre 2013 à 21:25:13

Putain, j'ai jamais vu une brique aussi imposante

03 octobre 2013 à 21:26:00

OH MON DIEU CE PAVÉ TITANESQUE

03 octobre 2013 à 21:26:53

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